Le club de l’Aviron Brestois nous a accueilli samedi 02 mai à l'occasion de la 4ème manche du Championnat du Grand Ouest. 4 équipages étaient alignés par le REC pour cette régate de 8km : 2 équipages féminins et 2 équipages masculins (tous en 4X+).

A deux semaines des championnats qui auront lieu à l'Ile de Ré, il s'agissait ici de la dernière répétition en mer pour les compétiteurs. Pluie et vent étaient attendus pour cette journée maussade... La pluie, on l'a eue (et encore), le vent, on l'a plutôt esquivé (en rade de Brest, on est à l’abri !) Bons résultats pour les équipages du REC : Victoire et 4ème place pour les filles, victoire et 5ème place pour ces messieurs Voici les impressions des équipages !

 

SF4x (Raffaela, Valérie, Lucile, Caroline, bar : Jérôme)

Réveil en sursaut en plein en nuit ! Que se passe-t-il ? Le réveil indique 5hxx... ah oui, il faut aller dans le Finistère (quelle idée!). 5h plus tard... Embarquement des courses femmes sous une légère pluie fine, c'est bon pour le teint. La mise à l'eau semble interminable à cause d'une cale transformée en piste de luge recouverte de pudding aux algues (un coup des anglais?), bref, ça glisse. Échauffement raccourci du fait, mais la bruine, c'est vivifiant. Vite, on se recoiffe, on serre ces lacets. Un énorme sac de vêtements arrive au barreur... qui se demande bien pourquoi tout ça n'est pas dans le vestiaire. Pas le temps de trouver une braderie sur la côte, la tentation est grande de tout jeter à la mer en offrande.

Les boules de la procédure de départ sont levées (...à bout de bras d'un arbitre): moins de 3 minutes. Arrivée près de la ligne de départ, on se recoiffe, on serre s[POUEEEEEEEEEET]!! c'est parti, sous le crachin. Départ un peu précipité, un peu loin de la ligne. Une fois lancés, nous remontons doucement sur les bateaux de tête, juste en retrait de l’autre équipage du REC. Après le pont, tout le monde semble chercher les bouées... ça devrait être droit devant. Ah non, après concertation entre barreurs du REC, nous décidons de foncer vers une bouée rouge, à tribord toutes ! Tous les équipages font de même, ça doit être ça.

Ça frotte un peu à la première bouée, mais ça passe, bien placé pour la suite. Après la 2e bouée, l’équipage reste mobilisé et s'empare de la tête de la course au 2/3 du parcours, tout juste suivi par un équipage de Brest (enfin je crois), qui restera à distance raisonnable, juste ce qu'il faut pour ne pas se relâcher. Une dernière épingle avant de foncer vers la ligne d’arrivée, bravo mesdames ! Il pleut de plus en plus… mais le sac de vêtements est sain et sauf ! ouf. Résultat : 1ères

SF4x (Pauline, Sabina, Elsa, Emmanuelle, bar : P'tit Seb)

Après avoir dégusté nos sommaires rations de pâtes à 8 heures sonnantes, nos ramenons nos fraises au port de Plougastel­Daoulas, parés à l'embarquement. Le départ approche, et les premières sonneries retentissent tandis que nous nous dirigeons vers la vigne. Départ centré, probablement légèrement en retrait, néanmoins pas assez pour nous empêcher d'accrocher de suite le peloton de tête, notamment aux côté des Malouines !

Jusqu'à la moitié du bord les positions restent similaires, et vient le moment de trouver notre direction. Les navires de tête conservent le cap droit au sortir du pont, qui sera choisi par tous les suivants, délaissant la seule bouée en vue, qui nous semble être la deuxième. Toutefois, le temps s'égrène, et il nous apparaît qu'aucune bouée ne se situe la où l'on se dirige : nous cherchons au Sud­Ouest la première bouée, tandis que la bouée rouge tomate à tribord nous nargue. Mazette, personne donc n’arrive à poire la première bouée ? Parbleu ! Cette bouée arrogante n'est donc pas la deuxième, mais bien la première ! Enserrés par le second quatre du REC à tribord, nous devons prendre le temps d'échanger cette trouvaille de vive voix, qui ne sera assurément pas tombé dans les groseilles de sourds, puisque sitôt que nous verrouillons notre direction vers cette maudite bouée, nous nous voyons poursuivis par nos concurrentes.

L’effet de surprise passé, nous nous retrouvons au virement juste derrière les trois bateaux de tête, qui auront réussi à relancer fougueusement leurs bateaux, le REC qui nous dépassait au changement de cap. Dans les bouillons, notre esquif trouve difficilement ses appuis et le bord du retour sera le lieu de l’affrontement contre nos concurrentes les Malouines. Petit à petit, nous grattons de la distance en nous relâchant, et la troisième place nous parait presque accessible, mais cela ne suffira pas pour l’accrocher. Résultat : 4èmes

SH4x (François, Régis, Jean­Michel, Loïc, bar : P'tit Seb)

  Le vent se lève, et même la pluie vient nous souhaiter la bonne course, avant notre départ. Force est de compenser le vent en lui faisant face. Quelques secondes avant le départ, le nez de notre bateau s’aligne, tandis que ses ailes de carbone s’activent au doux chant poétique du bateau comité, laissant à notre embarcation le loisir de s’élancer sur les flots. Vite devant, nous ne prenons que le temps d’offrir généreusement quelques bouillons à nos téméraires adversaires. Mais Plougonvelin n’en a que faire et s’écarte, en embuscade sur bâbord.

Un cap relativement mal calculé couplé au vent nous éloigne tribord, forçant un détour avant la bouée. Au coude ­ à­ coude avec Plougonvelin quelques longueurs avant celle­-ci, nous ne leur offrons pas la politesse de passer devant, glissant rapidement, avant de dévorer le deuxième bord, puis mordant dans celui du retour. Séparés latéralement, Plougonvelin préfère longer la côte, et nous bataillons sévèrement jusqu’au pont, conservant notre position dans l'écume des quelques rides. Mais le calme revenant après l'énorme édifice, Plougonvelin s’éloigne de nous progressivement, tandis que notre geste s’affirme sur un terrain plus plat, plus proche de nos habitudes.

Seuls à la dernière bouée, nous achevons le parcours de quelques coups déterminés jusqu’à la libération. Toujours poétique, la libération. Son chant n’a pas changé, ça non. Résultat : 1ers

SH4x (Jérôme, Guillaume, Médéric, Stéphane, bar : Emanuelle)

Après une première régate bien négociée, l'équipage arrive à Brest gonflé à bloc. Une régate ne faisant pas l'autre, le climat doux de La Rochelle n'a pas réussit à atteindre la pointe bretonne. Pluie et petit clapot sont de la partie ! Rien bien important, cela ne suffit pas à déstabiliser l'équipage. Pour preuve, un bon départ dans le groupe de tête.

Cependant, malgré un bord au coudes à coudes avec deux autres équipages et une fausse pelle, l'écart est creusé ! L'équipage restera à la cinquième place. Ni les encouragements de la barreuse et un dernier sursaut sur le troisième bord ne changeront la donne.

Cette dernière régate qualifiante a montré que le REC est décidé à marquer sa place dans l'histoire et dans le classement de la Rochelle ! Croisons les doigts (mais pas les avirons) pour tou.te.s nos rameuses et rameurs le 15 et 16 mai lors du Championat d'aviron en mer ! Cool

Dimanche Sabina, Stéphanie, Gilles et Alban ont participé à une randonnée sur l’Erdre organisée par le Club de Léo Lagrange de Nantes.   Départ matinal sous un soleil radieux, ou pas...

 

Le pique-nique prévu à mi-parcours est annulé pour cause de prairie humide. Le programme modifié, c’est donc ramer jusqu’à Sucé-sur-Erdre, faire une pause café là-bas, et revenir manger au club, au sec donc. Il y a des rameurs de Nord sur Erdre, Neuilly sur Seine, Le Mans, Carnac, et Nantes bien sûr.

Malgré la pluie nous embarquons à bord d’une yolette que viendra compléter Nathalie du CLL. Imperméable coincé sous la combi, pas très élégant, mais on a un carré orange dans le dos ! Au fil des kilomètres, nous découvrons ou redécouvrons les rives de l’Erdre ou se côtoient hérons cendrés, cormorans et grèbes huppées au milieu de châteaux, maisons de maître et de parcs arborés.

Nous changeons régulièrement de barreur pour que tout le monde puisse profiter de la fraîcheur fluviale lorsqu’on ne rame plus.  

Régis sera satisfait, nous sommes arrivés à Sucé !

Une petite pause rapide, café et brioche sous la pluie qui redouble. On repart dans l’autre sens, vent pour, courant pour, le retour sera plus rapide, et de moins en moins humide. On fait un départ et quelques accélérations pour s’amuser. Arrivés au club, après environ 24 km, on décide de continuer jusqu’au centre de Nantes. Un petit tour sympathique au milieu des péniches et au pied des immeubles. On accélère un peu le dernier bord, notre barreuse commence à congeler. Le pique-nique se passe donc au CLL, au premier étage avec terrasse et vue sur Erdre lorsque le soleil apparait enfin. Nous repartons vers 17h. Au final, une grande balade de pas loin de 30 km. Malgré la pluie les conditions de rame étaient bonnes, pas de vent, pas de vagues. C’est dommage après deux semaines de beau temps, mais pour aller à Sucé, nous n’avions pas le choix dans la date !!!  

Merci au CLL pour l’organisation et le prêt des bateaux. On espère revoir tout le monde le 13 juin pour la régate des poissons.

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Le lendemain de Barneville-Carteret, encore connu sous le nom de Barneret-Carteville, s'annonce la régate de Paluden ! Le REC qui partait pour 14 rameurs la semaine précédente se retrouve à seulement 7 engagés le jour J. Qu'à cela ne tienne ! Les conditions sont moins violentes que la veille, toujours du vent mais beaucoup moins de vagues. Voila une bonne chose !

 

SF4x     (Pauline, Ania, Elsa, Emmanuelle, bar : P'tit Seb)

(Paula, Ainara, Elisabela, Manuela, bar : Sanchez)

 

Par soucis d'anonymat et de protection des individus, les prénoms des engagés ont été changés. Merci de votre consternation.

 

À peine arrivé au club, le temps d'une petite réunion, notre équipage féminin du REC s'apprête à embarquer pour cette manche. Un échauffement devant le port, et nous nous approchons du départ. Côté intérieur, nous anticipons le vent sur la ligne et gardons une bonne place pour le départ. La minute finie, nous nous élançons à l'assaut du premier bord, rapidement en tête. Les pelles s'élancent et retombent, le premier bord est vite traversé, après les deux bouées passées débute le bord du retour vers le port. C'est aussi le premier bord annonciateur de la tourmente de cette course. Vers le milieu du bord, nous remarquons les équipages adverses bien éloignés latéralement de nous. Viserait on un mauvais point ? Voilà Sanchez déstabilisé. L'arbitre fait signe de se déporter. Sanchez étonné, suit les directives, et nous retrouvons finalement le groupe, rejoignons la bouée la plus proche de la côte, perdant du temps à nous déporter. De nouveau proches de Paluden, nous nous battons férocement aux bouées. Fort heureusement l'intérieur nous assure un avantage certain dans les virements, au coude-à-coude. Bref, le zigzag terminé, nous amorçons la fin de cette première boucle de 3km, la première place de nouveau à nous. Sanchez se dirige vers la bouée de la ligne d'arrivée ; mais très vite, se pose un nouveau soucis : l'équipage de Paluden vise la ligne de départ. Deux navires, deux barreurs, deux bouées ... deux parcours ? Il ne peut pourtant en avoir qu'un, nous en sommes conscients. Pas d'arbitre pour être guidés cette fois-ci. Le doute est puissant, mais une décision doit être prise. La route se poursuit, le bord du retour se fait plus difficilement, et nous finissons ce parcours en passant la ligne d'arrivée en tête, quelques longueurs en avance, Paluden toujours derrière. Sanchez se faisant confiance sur sa compréhension du parcours, le cap a été gardé. L'histoire lui prouvera qu'il avait tort.

Résultat : Disqualifées.

SF4x_Paluden

SH2x     Pipo et mollo à l’Aber en Vrac..

 

Départ à 14h15. Vent SSO. Une bonne dizaine de concurrents au départ prêts à en découdre pour cette manche qualifiante dans ce terrain de jeu bien connu du REC : l’Aberwrach.

 

Nous avions décidé de nous placer SSO de la ligne afin d’optimiser le courant jusqu’à la bouée A située Ouest. A priori bonne stratégie en effet sauf que nous nous plaçons presque à l’opposé préférant finalement avoir de l’espace pour lancer le bateau plutôt que de risquer la même déconvenue qu’à Arcachon et s’entremêler les pelles avec les autres concurrents en position. Nous ne sommes pas là pour casser le bateau. Dommage quand même car la seconde boule du bateau de comité de course tombe et nous lançons difficilement le bateau. Le premier bord que nous affrontons en bord à bord avec un double de Treguier nous met tout de suite dans le bain d’une course qui s’annonce être une lutte entre le vent SSO, le courant de la marée montante, et les vagues provoquées par les chalutiers et autres délectables embarcations motorisées..

Les virements de bouées successives E, F et G à 160° et quelques contacts avec le double de Treguier avec qui nous sommes restés en bord à bord tout le long de la course nous font perdre de la vitesse mais nous le laissons finalement derrière nous jusqu’à l’arrivée, ainsi que deux autres adversaires dont Paluden qui a cassé.

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Au final, départ décevant, parcours et conditions pas si faciles dès que l’on quitte le port, et qui nécessitaient une technique que nous n’avons pas réussie à développer comme nous l’espérions.

 

Mais comme à chaque fois, on a beau se lever tôt et en baver, on rentre avec le sourire et des axes de progression infinis que nous pourrons travailler entre Jersey et Carteret par exemple!!

 

 

Cela aurait pu être une bien sombre journée pour le REC qui ne s'est pas distingué en ce jour, mais heureusement le soleil était présent pour compenser ! La revanche à Brest !

Quittons nous sur une citation attribuée à Bébert notre ami de toujours, "Une personne qui n’a jamais commis d’erreurs n’a jamais tenté d’innover." , quoique je préfère celle de David Gemmell " Celui qui n'a jamais fait d'erreur, n'a jamais rien fait." Faut dire, innover c'est chouette, mais innover à ce point, ça n'a pas l'air de plaire tant que ça aux arbitres. Assurément.

   En cette sombre matinée de samedi, nous prenons la route vers le Nord, chez nos confrères normands. A croire que le temps n'a pas beaucoup changé depuis la régate universitaire de Tourlaville fin mars, il fait toujours gris malheureusement ! Qu'importe, nous y voilà !

 

SF4x (Valérie, Raffaella, Caroline, Lucile, bar : P'tit Seb)

 

   En avant ! La réunion est à peine finie qu'il pleut à torrent ! Fort heureusement, quelques incantations runiques suffisent à la dissiper pour notre mise à l'eau. Dans le port tout se passe pour le mieux, mais mazette, les vagues se réveillent dès qu'on le quitte ! La SNSM en combinaison d'astronautes doit même récupérer des gilets de sauvetage qui se sont enfuis lâchement d'un autre quatre. Le départ annoncé à l'embouchure du port, nous nous préparons à partir avec des juniors, des mixtes et des doubles féminins. Bref, le départ se fait plutôt tranquillement, nous partons en tête, juste derrière le quatre junior. Pas étonnant que les gilets aient eu peur, de belles vagues nous assaillent sur tribord au premier bord, et redoublent de violence au second ! Notre embarcation se soulève au gré des forces maritimes. Le rythme est dur à trouver, force est de faire avec, en misant sur la cohésion. Après un peu plus de 5km dans les mouvantes vallées iodées, nous nous réfugions en hâte dans le port. Ça y est, on peut ramer plus à l'aise, le geste s'allonge, devient plus précis, s’accélère : la coque glisse sur une steppe aqueuse uniquement troublée par notre passage. A nous les pinoches finales ! Seul le junior finira avant nous dans cette course. Première place dans notre catégorie.

 

SH4x (François, Loïc, Jean-Michel, Régis, bar : P'tit Seb)

 

   On embarque de suite après les filles, nous avons encore le temps de s'échauffer le temps que tous les bateaux se mettent à flot. Le vent s'est un peu levé, mais le soleil aussi. La SNSM du futur nous enjoint à un départ près de l'embouchure du port. Assurément. Un peu nombreux au départ avec tous les doubles et solos, on s'approche. Départ un peu serré, nous prenons vite la tête sur ce premier bord. Les vagues se jettent sur nous dès le début, nous déboussolant par leur côté aléatoire. Difficile de prévoir ce qui arrive. Nous continuons, jusqu'à ce qu'une vague traitresse fauche la pelle tribord de Régis : nous sommes forcés d’arrêter le navire, pour changer la pelle brisée. Quelques doubles à prévenir pour ne pas se faire éperonner, et nous repartons la hargne dans chaque coups aux côtés de nos adversaires en quatre. Nous arrivons tout de même devant eux à la bouée, entamant le second bord. Le chaos des vagues se fait encore plus ressentir, le bateau se soulève, tombe, et se redresse au fil des vagues. Nous parvenons à trouver un rythme pour être plus à l'aise vers le milieu du bord. Pour le parcours des 8km, une bouée est rajoutée au nord, nous offrant un petit bord, avant de pouvoir rentrer à l'accalmie du goulot protégé par la digue. Les vagues dans le dos, nous amorçons un série de quelques surfs puissants. Tantôt en vol au dessus des vagues, tantôt submergés par l'eau qui remplit le bateau, nous manquons de perdre Jean-Michel, tandis que le gilet de Loïc prend peur, et préfère tenter sa chance en solo. Finalement nous rejoignons le port, le bateau se réveille, on peut s'exploiter plus aisément pour ces quelques 500 derniers mètres plus paisibles. Première place au final.

 

   Une régate qui offrira généreusement des médailles à presque tout le monde, remerciant même les rameurs par le nombre de personnes « sauvées des flots » au cours de leur course. Le gilet de Loïc est encore en vadrouille, le bougre a probablement du prolonger son séjour jusqu'à Jersey. On le sermonnera en juillet.

Barneville_carteret_photo_groupe

Samedi dernier les inter acad ont eu lieu ici à Rennes. La compétition était co-organisée par le REC et le SIUAPS, sous l'égide du CRSU. Heureusement le vent s'était fortement atténué comparé aux derniers jours. On a pas vraiment vu le soleil mais au moins les courses ont eu lieu sur un bassin calme.

Belle participation des rennais avec 3 quatre de couple et un 8 de pointe. La plus forte depuis pas mal d'années.

Pour beaucoup de rameurs c'était une vraie première compet en course en ligne.

Qualifiés pour les championnats de France, les équipages entrent dans la préparation finale. Avec probablement les régataïades de Nantes comme échéance intermédiaire.

On est juste un peu déçu de ne pas avoir eu d'autres équipages étudiants bretons.

Merci à tous les bénévoles, notamment aux arbitres, au CRSU, à la SNSM et aussi à la Ville de Rennes pour son soutien matériel.

Quelques extraits:

11133943_989167791123710_5483287497387335622_nLe 4x mixte de l'Agrocampus Ouest

1910009_989174101123079_4999057931080902952_n
Le 4x féminin de l'Agrocampus

11126231_989163594457463_3596464467248229347_nLe 4x mixte kinés

11130086_989175461122943_1116158314054920574_nLe 8+ supelec (au second plan, à la bataille avec Centrale Nantes)